La dysgraphie
Est dysgraphique une écriture dont la qualité est déficiente, et qui est atteinte dans une de ses fonctions essentielles, sans qu’il y ait pour autant déficit neurologique ou intellectuel.
U
ne écriture dysgraphique ressemble souvent à un champ de bataille.
Elle est confuse, difficile à lire, voire illisible, les lignes dansent, les lettres s’entrechoquent, les formes prêtent à confusion, les proportions ne sont pas respectées, l’espace est anarchique, le trait de mauvaise qualité…
En résumé, le geste graphique n’est pas maîtrisé.
L’écriture, à l’inverse, peut être trop structurée, trop appliquée, immobile, sans vie, rigidifiée.
Souvent lente, voire très lente, ou donnant l’illusion de la vitesse, elle entraîne fatigue, tensions musculaires et douleurs. L’acte d’écrire devient pénible, source d'appréhension et de rejet, le manque d'exercice ne faisant que renforcer le problème.
Elle est confuse, difficile à lire, voire illisible, les lignes dansent, les lettres s’entrechoquent, les formes prêtent à confusion, les proportions ne sont pas respectées, l’espace est anarchique, le trait de mauvaise qualité…
En résumé, le geste graphique n’est pas maîtrisé.
L’écriture, à l’inverse, peut être trop structurée, trop appliquée, immobile, sans vie, rigidifiée.
Souvent lente, voire très lente, ou donnant l’illusion de la vitesse, elle entraîne fatigue, tensions musculaires et douleurs. L’acte d’écrire devient pénible, source d'appréhension et de rejet, le manque d'exercice ne faisant que renforcer le problème.
D’autres troubles peuvent être corollaires à la dysgraphie tels que la dyslexie, la dyspraxie, les troubles de l’attention, les troubles visuo-constructifs, une latéralité mal définie, des problèmes psychologiques… qui nécessitent d’avoir recours à d’autres thérapies.